par Simon Mauvieux
Après l'interdiction des manifestations, la répression contre le mouvement de solidarité pour la Palestine vit désormais une intense phase d'enquête ou de poursuites pour «apologie du terrorisme». Rapports de Force a rencontré Inès*, 23 ans, étudiante et membre de Solidaires EHESS, entendue par la police antiterroriste dans cette affaire.
L'accusation d'apologie du terrorisme est devenue l'une des principales armes utilisées contre les militants, syndicalistes, politiques ou simples anonymes qui expriment leur solidarité envers le peuple palestinien.