Tess Lawrie au "Défi de la vérité" : nous avions déjà reçu dans des "Debriefings" la médecin britannique, chercheuse et directrice d'Evidence-Based Medicine Consultancy Ltd., mais c'est une première sur notre plateau.
Elle revient sur les entraves à la reconnaissance de l'ivermectine comme traitement précoce contre le covid-19 : comment des influences extérieures, notamment celle d'Unitaid, sponsor de la méta-analyse conduite par Andrew Hill pour l'OMS, ont conduit à influer sur les conclusions. Rappelant l'urgence et l'angoisse de sauver des patients qui l'animaient, elle souligne à quel point la décision de l'OMS de cantonner l'ivermectine aux essais cliniques a eu un impact énorme - a fortiori si l'on regarde le succès avec lequel ce traitement sûr et bien connu a été utilisé dans certains pays. Des pays qui, le plus souvent, savaient ne pas pouvoir miser sur un vaccin comme seule et unique sortie de crise.
Tess Lawrie rappelle à quel point ceux qui ont affirmé l'efficacité de tels traitements précoces ont été "ignorés, censurés, discrédités". Dans un précédent entretien, elle avait appelé à une "nouvelle OMS" : elle nous raconte, comment, à son échelle, avec son organisation "World Council for Health", elle souhaite "aider les gens à comprendre ce qu'il se passe", en faisant usage de "science, sagesse et bon sens". "S'affranchir pour reprendre le contrôle et la responsabiolité de leur santé et de leurs décisions en la matière", tel est l'objectif.
Tess Lawrie nous livre son regard systémique sur cette crise sanitaire, elle qui a buté sur les blocages et errements des institutions et instances de régulation, "capturées" par l'industrie pharmaceutique. Elle émet même l'hypothèse - "controversée" - qu'il n'y aurait "peut-être même pas de pandémie" avec l'approbation de traitements précoces. La chercheuse continue de promouvoir, malgré les obstacles, "une meilleure voie" - un slogan de son association. "Nous avons encore besoin de l'ivermectine"... y compris pour traiter certains effets secondaires des injections anti-covid.
Un entretien fondamental pour comprendre, à travers cette histoire emblématique, ce qui s'est joué depuis deux ans :
Traduction et doublage : Jeanne Traduction
La version originale de cette vidéo est disponible ici : Ivermectin : "maybe they wouldnt' even be a pandemic" Dr. Tess Lawrie keeps fighting
Voir aussi : Ivermectine : De l'indifférence scandaleuse au mensonge criminel