par Gideon Levy
La mort était l'une des menaces qui guettaient le coup d'État judiciaire. Elle pouvait tout contenir, mais pas les menaces des familles endeuillées et des agents du deuil. Les cérémonies d'État, en premier lieu la Journée du Souvenir [Yom Hazikaron, journée de commémoration des soldats tombés au combat et des victimes du terrorisme, tombant le 24 avril] sont devenues des dates cibles menaçantes.