«On considère que si de nouvelles exigences pour les zonages de mer ou les engins de pêche sont intégrées dans les licences, alors même qu'elles n'ont pas été notifiées à la Commission européenne, elles sont nulles et non avenues», a déclaré le ministère de la Mer ce 4 mai à l'AFP.
L'interlocuteur de l'agence a rappelé l'attachement de Paris au «strict respect de l'accord de pêche négocié dans le cadre du Brexit et ajouté : «Si le Royaume-Uni veut introduire de nouvelles dispositions, il doit les notifier à la Commission européenne qui nous les notifie, ce qui nous permet d'engager un dialogue ensuite.