par Pierrick Tillet
Le soulèvement des Gilets Jaunes aura un peu plus mis à jour l’entreprise malfaisante de désinformation que sont les médias et les éditocrates de propagande. Mettre ce clergé médiatique hors d’état de nuire devrait être désormais un devoir citoyen, un objectif prioritaire.
Le texte Crépuscule de Juan Branco, publié en feuilleton sur le yetiblog, le démontre épisode après épisode : un clan de milliardaires sans scrupules (Drahi, Lagardère, Niel, Pinault…) et de voyous repris de justice (“Mimi” Marchand…) a fait main-basse, au-delà de ce qu’on peut imaginer, sur les institutions de la République et sur les “Grand médias” du pays.
Des éditocrates agaçants, fatigants, leur prêtent main-fortes en monopolisant stylos, micros et caméras pour mener d’ahurissantes campagnes de propagande, de désinformation et de manipulation de l’opinion : Apathie, Barbier, Bronner, Brunet, Calvi, Cohen, de Malherbe, Demorand, Elkrief, Lapix, Salamé, Sotto… J’en passe !
La liberté de la presse commencera le jour où on dégagera ceux qui la cadenassent
C’est un comble, mais même l’extrême-droite finit par avoir raison contre ceux-là :
Les éditocrates ont tôt fait de hurler à la liberté de la presse menacée contre tous ceux qui osent dénoncer leurs agissements ou contre les manifestants excédés qui s’en prennent avec véhémence aux sous-fifres (mal payés) envoyés au front recueillir ces éléments d’infos dont leurs supérieurs nourriront leurs insupportables prêches.
Mais il n’y a pas de liberté de la presse là où elle est corrompue ! La liberté de la presse commencera le jour où on dégagera ceux qui la cadenassent, par leur position, leurs millions et l’aide de politiciens serviles (Macron). On ne va pas se gêner ! Hardis, les Gilets Jaunes !
source: yetiblog.org