28/08/2008 toutsaufsarkozy.com  3 min #19790

La Russie reconnaît l'indépendance de l'Abkhazie et de l'Ossétie du Sud

Non seulement au service de l'étranger, mais en plus fou: après les Chinois (avec le succès que l'on sait), Sarkozy menace la Russie!

Le gouverneur de la province, Nicolas Sarkozy, agitant ses petits bras, a appelé, mercredi 27 août, la Russie à retirer "sans délai" ses forces militaires de Géorgie "sur les lignes antérieures au déclenchement des hostilités".

"Les forces militaires qui ne se sont pas encore retirées sur les lignes antérieures au déclenchement des hostilités doivent faire mouvement sans délai", a-t-il déclaré, lors d'un discours aux ambassadeurs de France.

"L'Union européenne a fermement condamné hier la décision de reconnaissance par la Russie de l'indépendance de ces deux territoires (l'Abkhazie et de l'Ossétie du Sud). Cette décision, qui vise à un changement unilatéral des frontières de la Géorgie, est tout simplement inacceptable", a également jugé Nicolas Sarkozy.

Le docteur Kauchmar débloque comme son maître:

Le ministre des Affaires Usraéliennes en France, Bernard Kouchner a accusé mardi soir les troupes russes de préparer "cette nuit" un "nettoyage ethnique" en Géorgie, en vidant la ville d'Akhalgori, estimant que "cela n'est pas acceptable".

Bernard Kouchner a aussi dit avoir "peur d'une guerre", lors d'une interview sur France 2, à propos des tensions avec la Russie et des craintes d'une nouvelle guerre froide avec les Occidentaux.

Le docteur fou continue à menacer. Nous allons voir qui va sanctionner qui...(cf.notre précédent article)

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Le ministre des Affaires Usraéliennes en France, Bernard Kouchner a déclaré jeudi 28 août que des "sanctions sont envisagées" contre la Russie par les pays européens qui se réuniront en conseil européen extraordinaire lundi 1er septembre sur la crise géorgienne. "Des sanctions sont envisagées, et bien d'autres moyens", a affirmé Bernard Kouchner, lors d'une conférence de presse à Paris, alors que Nicolas Sarkozy a souligné "l'urgente nécessité de faire baisser la tension".

"Volonté de ne pas accepter" ce qui est pourtant tout aussi conforme au droit international que la reconnaissance du Kossovo ou le dépeçage de la Yougoslavie.

C'est la première fois que Paris évoque la possibilité de sanctions contre Moscou dans cette crise. "Je ne vais pas préfigurer moi-même des sanctions, alors que la réunion n'a pas eu lieu, mais nous travaillons avec nos 26 partenaires en ce moment", a précisé le "ministre". "Nous essayons d'élaborer un texte fort signifiant notre volonté de ne pas accepter" la situation en Géorgie, a-t-il ajouté. Le chef de la diplomatie Usraélienne "française" n'a pas précisé quelles formes pourraient prendre ces éventuelles sanctions.

Pour Serge Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères, docteur Kauchmar a "une imagination malade", manière polie de dire ce que tous les veaux devraient savoir en France: "Kouchner est un fou sioniste à enfermer d'urgence".

Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a fustigé l'évocation par l'Union européenne de sanctions contre Moscou, dénonçant le produit d'une imagination malade et de la confusion occidentale.

Son homologue "français" Bernard Kouchner, dont la province préside actuellement l'UE, a déclaré que des sanctions étaient envisagées par plusieurs pays européens contre la Russie avant le sommet extraordinaire de l'Union sur la Géorgie, lundi.

"Hormis cela, mon ami Kouchner a aussi déclaré que nous allions bientôt attaquer la Moldavie et l'Ukraine et la Crimée (...) Mais c'est une imagination malade et cela s'applique probablement aussi aux sanctions", a déclaré Lavrov à des journalistes dans la capitale du Tadjikistan. "Je pense que c'est une démonstration de confusion totale."

Reuters, 28-08-08, 12H33.

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