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Lors de ce procès contre trois anciens hauts cadres de l'entreprise française de développement de jeux vidéo, ni la personne morale Ubisoft, ni son PDG, ni sa responsable des ressources humaines n'ont fait l'objet de poursuites dans ce dossier. [Photo d'illustration]
Le tribunal correctionnel de Bobigny a condamné, le 2 juillet, à des peines de prison avec sursis trois anciens cadres d'Ubisoft pour harcèlement moral ou sexuel : Thomas François (ancien vice-président éditorial), à 3 ans ; Serge Hascoët (ex-numéro deux), à 18 mois ; et Guillaume Patrux (ancien game director), à 12 mois.