par Gabriel Vera Lopes
Marquées par de graves accusations de fraude, des milliers de contestations non résolues et une ingérence flagrante des États-Unis, les récentes élections générales au Honduras se présentent comme l'un des processus électoraux les plus opaques de l'histoire du pays. Vingt-quatre jours après le scrutin du 30 novembre, le Conseil national électoral (CNE) a proclamé le candidat du Parti National, soutenu par Donald Trump, Nasry Asfura, comme nouveau président de ce pays d'Amérique centrale.