Dans une ruelle de la vieille ville de Jérusalem, un Israélien attrape et jette violemment un chat, qui ne lui avait rien fait.
Des animaux que Brigitte Bardot n'aurait jamais défendus de toutes façons.
europalestine.com
Dans une ruelle de la vieille ville de Jérusalem, un Israélien attrape et jette violemment un chat, qui ne lui avait rien fait.
Des animaux que Brigitte Bardot n'aurait jamais défendus de toutes façons.
europalestine.com
Le parlement israélien a donné, lundi, son feu vert final à un projet de loi prévoyant la coupure de l'approvisionnement des bureaux de l'Agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) en eau et en électricité. La mesure entre en vigueur immédiatement.
Cette décision intervient alors que la dépendance des Palestiniens aux services de l'UNRWA s'est accrue à la suite de deux année
Comme si l'hiver n'était pas assez désastreux pour les Palestiniens de Gaza, Israël a ouvert de manière inattendue le canal d'irrigation de la vallée de Gaza, qui était auparavant bloqué par des barrages et des siphons le long de la frontière. Cette ouverture soudaine a provoqué des torrents déferlant sur les zones avoisinantes et emportant les tentes des familles déplacées.
La cruauté des fascistes au pouvoir n'a aucune limite.
Par Al-Mayadeen
D'une modeste conférence de presse à l'un des visages les plus connus des médias, le porte-parole des Brigades al-Qassam, Abu Obeida, est devenu une légende en imposant un nouveau discours médiatique autour de la cause palestinienne.
Al-mulatham, comme on le surnomme parmi les arabophones, un mot arabe romanisé signifiant « le masqué », le porte-parole des Brigades al-Qassam, Abu Obeida, est devenu une figure légendaire parmi les pro-Palestiniens et une source de crainte pour les Israéliens, non seulement pendant cette guerre contre Gaza, mais aussi lors de toutes les opérations menées par la résistance palestinienne contre l'occupation israélienne.
Le pêcheur palestinien, Mohammad Bakr, 35 ans, vient de mourir des suites de blessures subies après avoir été poursuivi mardi matin par des bateaux de guerre israéliens au large de la ville de Gaza.
La semaine dernière, c'était le pêcheur Ismail Farhat qui était arrêté par les forces d'occupation après être retourné en mer pour nourrir sa famille malgré la destruction
Des enfants palestiniens de la bande de Gaza partagent leurs espoirs pour l'année à venir, offrant un aperçu de ce que représente l'enfance sous le blocus et la guerre israéliens.
(Vidéo sous-titrée par N.T. pour Europalestine)
europalestine.com
Le ministre israélien fasciste Itamar Ben-Gvir défend un projet de loi visant à restreindre, voire supprimer, l'appel à la prière musulmane (adhan), arguant qu'il engendre des nuisances sonores et nuit à la qualité de vie et à la santé des Israéliens.
Ce projet de loi prévoit des amendes pouvant atteindre 50 000 shekels pour l'utilisation de haut-parleurs par les mosqu
par Tareq S. Hajjaj
Tandis que les équipes de secours fouillent les décombres de la maison de sa famille à Gaza, Fatima Salem attend anxieusement à l'extérieur, ce 15 décembre. Le souffle coupé, elle s'accroche à l'espoir que les 60 membres de sa famille - frères, sœurs, nièces, neveux et petits-enfants - ensevelis sous les décombres après qu'une frappe aérienne israélienne a visé leur immeuble, seront sauvés.
Par Noor Alyacoubi
Avec des ressources limitées, les Palestiniens de Gaza et en exil financent les efforts de reconstruction communautaire en l'absence d'aide internationale. « Nous devons continuer à essayer d'aider Gaza à se relever », déclare à Mondoweiss un organisateur du projet Sameer.
Abu Ahmad, un résident déplacé du nord de Gaza, pensait qu'il aurait désormais un toit au-dessus de sa tête.
Un nourrisson a été blessé lors d'une attaque menée par des colons israéliens contre le quartier d'Al-Rabia, à Sa'ir, au nord d'Hébron.
Mayar Shalalda, la petite fille, a été blessée par des jets de pierres, des véhicules ont été incendiés et des maisons voisines ont été attaquées.
Un Palestinien aurait été blessé après qu'un véhicule militaire israélien a percuté une voiture civile près de Tulkarem
Par Abdalrahim Abuwarda
Ayant grandi à Gaza, je ne réalisais pas que le siège sous lequel je vivais n'était pas normal et que les autres ne vivaient pas sous une perpétuelle menace de mort. Ce n'est qu'après mon départ que j'ai compris que j'avais grandi dans un camp de concentration et que cela avait façonné ma vie.
J'avais environ dix ans lorsque j'ai vu pour la première fois la mort passer dans la rue comme un voisin.
Malgré ses efforts héroïques, c'est un corps sans vie, celui d'un petit garçon de 7 ans, que la Défense civile de Gaza a réussi à repêcher. Ali Al-Mayy, est tombé dans un puits d'eau qui s'est formé en raison de la destruction des infrastructures par Israël et des fortes pluies, dans le quartier de Sudanyia, au nord de Gaza.
Cette zone fait partie d'une zone déclarée sinistrée par les municipalités locales en raison des bombardements israéliens intenses subis tout au long du génocide
Un citoyen palestinien de Cisjordanie, déjà amputé d'une jambe suite au tir d'un colon il y a quelques mois, a été vendredi délibérément projeté au sol par un soldat israélien, comme le montre la vidéo diffusée au cours du week-end par le quotidien israélien Haaretz.
Tous les faits se sont déroulés sur l'oliveraie de la victime, Cheikh Saïd al-Amour, un habitant de Rakiz, un village du sud de la Cisjordanie occupée.
L'ONG israélienne B'Tselem a publié un nouveau rapport intitulé « il n'y a pas de place sous les cieux », documentant les déplacements forcés de populations palestiniennes à Gaza par Israël entre 2023 et 2025., et estimant qu'ils constituent un élément central de la politique génocidaire menée par Israël.
Depuis octobre 2023, environ 1,9 million de Palestiniens ont été
Brigitte Challande, 27 décembre 2025. Le 26.12, Abu Amir explique comment le « désarmement » glisse d'une solution proclamée à un instrument de blocage dissimulé, une gestion méthodique de l'impasse.
« Chaque fois que la question du « désarmement du Hamas » est remise sur la table dans le discours israélien, elle est présentée comme l'entrée naturelle pour mettre fin à la guerre et ouvrir la voie à une solution politique à Gaza.
© Getty Images
Destruction de la bande de Gaza.
L'armée israélienne maintient une occupation de facto à Gaza, malgré des accords de cessez-le-feu. L'hiver aggrave une crise humanitaire déjà aiguë, entre insécurité alimentaire et infrastructures détruites. À la veille d'une rencontre cruciale entre Benjamin Netanyahou et Donald Trump le 29 décembre, l'avenir du territoire reste incertain.
Après les avoir expulsé manu militari de leur camp de réfugiés Al Far'a, à Tubas, dans le nord de la Cisjordanie occupée, et de l'avoir ensuite détruit, Israël vient de distribuer des tracts menaçant les habitants du camp déplacés, après qu'ils aient décrit au monde, grâce aux réseaux sociaux, leurs souffrances et le nettoyage ethnique en cours.
« Nous surveillons ce que vous faites en ligne.
Quds News Network, 26 décembre 2025. Au milieu des ruines du plus grand hôpital de Gaza, 168 médecins palestiniens ont reçu leurs diplômes de spécialisation après la destruction de l'établissement lors des attaques et raids israéliens répétés durant les deux années de génocide.
La cérémonie de remise des diplômes s'est déroulée jeudi devant la façade détruite du complexe médical Al-Shifa, à Gaza-ville.
Par Thaer Ahmad
Le monde doit cesser de considérer le mot « cessez-le-feu » comme une garantie de sécurité alors que les habitants de Gaza restent sous le feu des bombardements, assiégés et dans des conditions qui ne peuvent que leur causer davantage de souffrances et de peine.
Les images et les témoignages qui nous parviennent de Gaza cet hiver sont tragiques et insupportables. Mohammed Khalil, un nourrisson âgé de deux semaines, a été retrouvé « froid comme la glace » dans une tente inondée par plusieurs jours de fortes pluies.
Malgré des ressources extrêmement limitées en raison du blocus israélien, et alors que plusieurs hôpitaux comme al-awda ont cessé leurs interventions, faute de carburant, les médecins de l'hôpital ophtalmologique de Gaza continuent de soigner un grand nombre de patients dans des conditions difficiles.
Le ministère de la Santé de Gaza a signalé que près de 4 000 patients atteints de glaucome à Gaza risquent de perdre la vue en raison du manque d'options de traitement et du nombre limité d'interventions chirurgicales.