Le représentant russe à l'ONU, Vasili Nebenzia, a déclaré lors d'une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU que la Cour pénale internationale était « une marionnette entre les mains de l'Occident, toujours prête à exercer une pseudo-justice sur commande ».
La nouvelle est apparue comme une plaisanterie de mauvais goût et fait surtout réfléchir sur les intérêts auxquels répond la Cour pénale internationale (CPI), institution qui vient d'annoncer en grande pompe qu'elle a « émis un mandat d'arrêt à l'encontre du président russe Vladimir Poutine pour avoir déporté des enfants dans les zones occupées par la Russie en Ukraine ».