08/11/2020  5 min #181378

thread sur la fraude électorale

Edouard Husson

Quelles certitudes avons-nous concernant l'élection présidentielle américaine 2020 ?
A. Les Démocrates ont vu COVID 19 comme occasion de fausser les résultats grâce au vote par correspondance. Trump a prévenu dès le mois de mai.
B. Les Républicains étaient sur leurs gardes.
Cependant les Etats-Unis vivent dans un état de droit. La constitution prévoyant que les Etats sont responsables de l'organisation de l'élection, le président s'est contenté d'avertir et de mobiliser le parti républicain sur le terrain. Ce n'est qu'en cas d'échec patent de l'organisation locale que la Fédération peut intervenir. Ce qui se passe depuis mercredi matin.
C. Les Démocrates ont une vieille expérience de trucage électoral. Tous les historiens savent que John Kennedy, en 1960, n'aurait pas été élu si les résultats n'avaient pas été falsifiés en sa faveur dans l'Illinois et au Texas. (Et oubliant le renvoi d'ascenseur à ceux qui l'avaient aidé à gagner, il fut assassiné par des mafieux). Il y a, en particulier dans le Nord-Est des USA, une vieille tradition de tricherie démocrate. Les Républicains ont bien entendu aussi versé dans le trucage à certaines époques. Mais la supériorité démocrate dans ce domaine est suffisamment établie pour que Donald Trump, lors de son débat avec Joe Biden, ait évoqué le cas... de Philadelphie !
D. La soirée électorale du 3 au 4 novembre s'est d'abord déroulée normalement. Le dépouillement avançait au rythme classique. Cependant, à partir de 3-4h du matin heure européenne (21/22h sur la côte Est), stupeur de tout l'establishment démocrate, avec ses alliés médiatiques et dans les GAFA, Donald Trump est en train, malgré la mobilisation massive de l'électorat démocrate, de rééditer l'exploit de 2016. Il devient même probable qu'il l'emporte plus largement car il accuse un retard de moins de deux points au plan national La stupeur se transforme en panique lorsqu'il se confirme qu'il a gagné le Texas et la Floride.
E. Les Démocrates et leurs alliés dans le Léviathan (le « Deep State ») ont bien dressé des scénarios en cas de victoire de Trump ou de résultat indécis. C'est le « Transition Integrity Project », dirigé par l'ancien Chief of Staff d'Obama, John Podesta, qui fut aussi le directeur de campagne d'Hillary Clinton. Ce « war game » en 4 scénarios a fuité début août. Il n'a jamais été démenti. Ni commenté dans les médias alors qu'on y voit le projet.
d'empêcher Trump de rester à la Maison Blanche même en cas de victoire. Depuis août, les Démocrates se sont faits plus discrets mais ce qui se déroule à partir de 4h du matin donne à penser qu'ils avaient continué à « répéter ». On saura un jour la séquence exacte et je me contente de donner les quelques pièces du puzzle déjà évidentes. D'abord les médias, démocrates de coeur, contre toutes les habitudes, suspendent le « call » des Etats où l'avance de Trump est apparemment irrattrapable: Géorgie, Caroline du Nord, Pennsylvanie Fox News qui, depuis longtemps n'est plus la chaîne objective qu'elle avait été durant la campagne de 2016, attribue l'Arizona à Biden alors que son avance n'est pas décisive. Les médias établis, pris de panique, essaient d'arrêter la « déferlante rouge ». Ensuite démarche concertée cette fois, l'establishment démocrate décide de lancer un véritable coup de force. On annonce un discours de Joe Biden, contre tous les usages d'une soirée électorale américaine. Tant que le résultat n'est pas certain et tant que le perdant n'a pas concédé la défaite à son adversaire par un échange téléphonique, aucun des deux ne prend la parole. C'était l'usage. Biden le rompt. Pourquoi?
F. Au même moment, le comptage des voix a été suspendu en Pennsylvanie, dans le Michigan et dans le Wisconsin. Pourquoi? G. 1h1/2 après Biden, Trump se présente devant la presse. Il dénonce le « coup » qui est en train de se passer. Et il verrouille le scénario: si l'on veut voler sa décision au peuple américain, explique-t-il, cela se terminera devant la Cour Suprême.
H. Dans les heures qui suivent, la fraude se déploie massivement. A Milwaukee, à Detroit, à Philadelphie, on voit apparaître des bulletins Biden en nombre invraisemblable - même en tenant compte du fait que les Démocrates auraient plus voté par correspondance.
I. Les Démocrates ont lancé une machine infernale. Apparemment, au moment où j'écris ce thread, ils ont gagné: grâce à la fraude et, sans attendre que les plaintes déposées par la campagne de Trump soient jugées, Biden s'auto-proclame vainqueur après avoir dépassé son rival dans les Etats dont il a été décidé, à l'état-major démocrate, mercredi vers 5h du matin heure européenne, que Trump ne devait pas les gagner et qu'il fallait concentrer sur ces Etats l'inflation et le trucage du vote par correspondance. Mais c'est piétiner le vote de 70 millions. d'Américains. C'est entacher son éventuel mandat d'illégitimité dès le départ. C'est détruire l'état de droit. C'est envoyer aux dictateurs du monde entier, à commencer par Xi Jiping, le message que la constitution américaine ne serait plus qu'un chiffon de papier.
Personne ne sait comment cet histoire finira. L'état de droit américain reste solide pour l'instant. Les électeurs républicains sont plus pacifiques et démocrates que les désormais bien mal nommés « Démocrates ». Mais, s'il réussissait, avec la complicité des médias, des GAFA, des milices antifa et des ingérences étrangères - Boris Johnson, avec beaucoup d'imprudence, vient de féliciter Biden - ce serait une terrible bombe à retardement, menaçant de faire exploser tous les principes sur lesquels repose la liberté.

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