09/05/2025 reseauinternational.net  5min #277341

Les révélations du Dr Hazan sur les mafias scientifiques

par Géopolitique Profonde

Le Dr Sabine Hazan est une gastro-entérologue et chercheuse américaine d'origine canadienne, spécialisée dans le microbiome intestinal. Elle est la fondatrice de ProgenaBiome, un laboratoire de recherche axé sur l'analyse de l'ADN du microbiote humain. Elle s'est faite connaître pour ses travaux sur le lien entre le microbiome, les maladies chroniques, et plus récemment le COVID-19. Elle défend une approche personnalisée de la médecine, mettant en avant l'importance de la flore intestinale dans l'immunité et la santé globale.

Le Dr Typhaine Pinsolle est une scientifique française spécialisée en microbiologie médicale. Elle est connue pour ses prises de position concernant la pandémie de COVID-19 et les vaccins, qu'elle qualifie d'armes biologiques. Forte de son expertise, elle se distingue par ses analyses pointues sur des sujets scientifiques complexes, notamment la protéine Spike, et se positionne en opposition au narratif officiel.

La corruption systémique des revues scientifiques

La crise sanitaire a révélé l'effondrement moral d'une large partie du monde académique. Les revues scientifiques majeures, comme The Lancet ou Nature, ont abandonné toute prétention à l'objectivité pour se transformer en relais des intérêts pharmaceutiques. La publication d'un article n'est plus liée à sa rigueur méthodologique, mais à sa conformité idéologique. Les données dérangeantes sont tout simplement ignorées ou censurées.

Des campagnes de désinformation ont été organisées pour détruire la réputation des chercheurs indépendants. Des études critiques sur l'hydroxychloroquine, l'ivermectine ou l'efficacité vaccinale ont été rejetées sans justification scientifique. En parallèle, des articles frauduleux favorables aux politiques de confinement ou aux vaccins à ARNm ont été publiés en urgence, souvent sans relecture sérieuse. Cette asymétrie prouve une manipulation délibérée du savoir au profit d'une logique politico-industrielle.

Le système de peer review, autrefois garant de la qualité scientifique, est désormais une coquille vide. Les évaluateurs sont souvent choisis en fonction de leur alignement idéologique. Les conflits d'intérêts sont systématiquement dissimulés. Des éditeurs en chef siègent dans les conseils d'administration de grands laboratoires ou sont liés à des fondations privées, brouillant toute séparation entre production de connaissances et intérêts financiers.

La science sous contrôle des lobbys

Le business des revues scientifiques repose sur un modèle mafieux déguisé en prestige académique. Les chercheurs doivent payer pour publier leurs articles, tandis que les lecteurs doivent payer pour y accéder. Ce double racket enrichit les éditeurs tout en excluant les voix dissidentes. Ce système profite aux institutions liées aux lobbys pharmaceutiques, qui disposent des fonds nécessaires pour monopoliser l'espace médiatique scientifique.

Les grandes publications ne survivent que grâce aux financements privés, souvent déguisés en subventions pour la recherche. Les multinationales dictent les thématiques de recherche, orientent les résultats et imposent des cadres de pensée. Les revues deviennent ainsi des instruments de propagande habillés d'autorité académique. Publier devient un acte de soumission à un paradigme imposé, non un exercice de libre investigation.

Lorsque des chercheurs réussissent à contourner la censure et à publier des études dérangeantes, la répression s'abat immédiatement. Des campagnes de rétractation sont lancées, souvent sur simple pression des institutions de santé ou de groupes d'influence. Ces rétractations ne sont plus des actes de correction scientifique, mais des outils de punition idéologique. On ne discute plus les arguments, on efface purement et simplement l'existence de l'étude.

Les comités de révision deviennent des tribunaux politiques, où la déviance scientifique est criminalisée. Les chercheurs critiquant la politique vaccinale sont qualifiés de «complotistes», leurs travaux supprimés des bases de données. La science se transforme en discipline autoritaire, où seuls les récits approuvés sont tolérés.

La stratégie Gates et la privatisation de la science

La Fondation Bill et Melinda Gates est aujourd'hui l'un des acteurs les plus puissants de la gouvernance sanitaire mondiale. Elle finance des centaines d'institutions, y compris l'OMS, le GAVI, les universités, et les revues scientifiques. Ce contrôle financier massif permet à la fondation de dicter les priorités de recherche, les recommandations de santé publique, et les stratégies médicales mondiales.

Les subventions accordées par la fondation conditionnent l'orientation des recherches. Les chercheurs savent que s'écarter des axes imposés - vaccination massive, numérisation de la santé, promotion des solutions technologiques - les condamne à l'exclusion. Cette emprise transforme la science en un outil de lobbying mondial, piloté depuis des bureaux privés sans légitimité démocratique.

La communication de la Fondation Gates masque habilement ses intentions. Présentée comme humanitaire, son action est en réalité un levier de domination sur la production de savoirs. Elle impose une vision unique de la santé : centralisée, technologique, dépendante des grandes industries. Ceux qui critiquent cette vision sont marginalisés, accusés d'anti-science, et expulsés du débat public.

En accaparant les financements, la fondation Gates prend en otage les institutions scientifiques. Elle dicte les priorités de l'OMS, finance des campagnes de communication pseudo-scientifiques, et soutient les revues qui valident ses options stratégiques. La science devient un bras armé du capitalisme philanthropique, où la vérité ne naît plus de l'expérimentation, mais de l'argent injecté dans les bons circuits.

source :  Géopolitique Profonde

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