par Serge Van Cutsem
On nous répète que «la Russie allait trahir», que «l'Occident n'a rien vu venir», que «la France est menacée» et que «l'Europe doit se préparer». Mais dès qu'on rassemble les faits - les vrais - un tableau très différent apparaît : la paix de 2022 existait, un texte était prêt, il a été torpillé par Londres, Washington et Paris, puis maquillé sous un récit de fatalité historique.