25/09/2025 francesoir.fr  13min #291589

Médias mainstream : propagande et effacement des vrais problèmes

Les JT des grandes chaînes françaises - ces temples laïcs de la Vérité avec majuscule - continuent leur ballet hypnotique : images chocs d'un drone ukrainien pulvérisant un tank russe, un expert en cravate hochant la tête sur l' « invasion barbare », et hop, on passe au bulletin météo sans un mot sur les 100 milliards d'euros engloutis par l'OTAN, ni sur les sondages qui montrent que 62 % des Français sont hostiles à une escalade militaire.

Ce n'est plus du journalisme : c'est le «  momentum de l'information», ce rouleau compresseur algorithmique qui fabrique les « temps danse », comme je me suis exercé à l'expliquer- ces narratifs qui s'emballent comme des bulles spéculatives, où les médias « suiveurs de tendance » amplifient l'officiel jusqu'à l'absurde, tandis que les « contrarians » comme France-Soir se font étiqueter « complotistes » avant d'être validés par les faits.

Les médias mainstream, ces chiens de garde du système, ne sont plus des journalistes : ils sont le ministère de la Vérité orwellien, noyant le poisson dans un océan de désinformation sélective. Ils effacent les vrais problèmes - inflation qui ronge les retraites, désindustrialisation qui vide les régions - pour colporter la ligne officielle, au grand dam des indépendants qui osent creuser.

Propagande ? Absolument : un cirque où l'audience prime sur les faits, où l'on vend de la peur pour masquer l'échec des élites. Et quand  l'information est polluée, c'est le peuple qui en subit les conséquences - une défiance généralisée, des vies brisées par des décisions basées sur des mensonges, une cohésion sociale en miettes. Comme le martèle une tribune percutante : la pollution informationnelle, c'est comme un poison lent qui altère nos perceptions, nos choix, notre santé publique, et qui appelle  une loi « pollueur-payeur » pour sanctionner les coupables. Aujourd'hui, deux fronts brûlants - et un troisième tout frais - illustrent cette farce : la guerre en Ukraine, ce bourbier atlantiste que l'on romantise en croisade morale ; le fiasco vaccinal COVID, dont les bénéfices fondent comme neige au soleil tandis que les risques explosent ; et la  bombe lâchée hier par Trump et Kennedy sur l'autisme, étouffée dans un concert de scepticisme médiatique qui pue le déni corporatiste.

Prenez l'Ukraine : depuis janvier 2025, la France subit une campagne de désinformation russe « sans précédent », comme l'alerte le ministère des Armées, avec des fake news ciblant nos militaires - un photomontage truqué montrant des soldats français « nazis » en Ukraine, relayé sur Telegram pour discréditer l'aide française. Les médias mainstream ? Ils en font leurs choux gras : le Parisien titre sur une « campagne de propagande russe » évoquant un complot Trump-Zelensky le 29 août ou Sud Ouest dénonce une « guerre informationnelle sophistiquée » du Kremlin en mai.

Bien, mais où est l'équilibre ? Pas un mot sur les narratifs prooccidentaux qui effacent les coûts humains et économiques pour les Français : 3,8 milliards d'euros d'aide militaire en 2025 (plus de 40 milliards au total depuis le début du conflit et sans décision du Parlement), selon Viginum, tandis que nos hôpitaux ferment et que l'inflation énergétique (+12 % sur le gaz) nous saigne à blanc. La radio NRJ,  accusée en avril par The Insider de diffuser de la propagande russe en Crimée, est « stupéfaite » - et les JT nationaux ? Silence radio sur les militants pro-guerre russes qui virent au cessez-le-feu en mars, ou sur les négociations de Doha en août, où Poutine prépare l'opinion à un accord, comme le décrypte Radio France. Et bien sûr aucun ne salue les efforts de Trump pour la Paix.

Résultat : on efface le vrai problème, la lassitude française (75 % veulent la paix, per Elabe), pour vendre un récit unilatéral où Macron est le chevalier blanc, armes à l'appui, sans un regard sur les 500 000 personnes déplacées internes en Ukraine ou les fuites de gaz russes qui nous ruinent. Propagande pure : on noie les doutes dans un flot d'images héroïques, pendant que les élites atlantistes se gavent de contrats Dassault. Et ce momentum ?  Il fabrique une « tendance » où l'Ukraine est éternelle croisade, occultant les biolabs US qui, bien que scientifiques, ont alimenté des peurs justifiées - un exemple flagrant de pollution info qui polarise et divise, comme dans le cas des accusations non démenties sur des recherches sensibles.

Pire encore, le scandale vaccinal COVID, ce tabou que les médias effacent comme un mauvais rêve. Les bénéfices des vaccins « fondent comme neige au soleil »  francesoir.fr - ce comité américain d'experts indépendants, réformé par Robert F. Kennedy Jr. - vote à l'unanimité (12-0) la fin de la recommandation universelle du vaccin pour tous les adultes et enfants de six mois, optant pour une « décision partagée » avec les médecins. Pourquoi ? Des données scientifiques alarmantes : une étude multicentrique sur dix sites dans huit pays révèle un risque accru d'événements indésirables graves (AESI) post-vaccin, comme myocardites, thromboses et troubles neurologiques, avec un biais de « vacciné en bonne santé » qui masquait les effets immédiats lors des autorisations d'urgence. Les modélisations WHO surestiment les bénéfices pour mieux diminuer les risques, et les experts comme Robert Malone pointent un rapport risque-bénéfice inversé pour la majorité. Pfizer ? Un silence déconcertant silence : le sénateur Ron Johnson,  via son enquête au Sénat, réclame en vain les docs sur la sécurité et les origines virales - menaces de subpoena contre le HHS et les labos.

Pour l'instant, les avancées sont faibles, mais aux Etats-Unis, le momentum est dans le bon sens, celui de l'intérêt général et des patients.

En France ? Le Parisien parle d'avancer les doses pour l'automne, comme si de rien n'était, effaçant les 52 % de Français qui ont perdu confiance en la vaccination à cause des « mensonges officiels ». Les risques augmentent dramatiquement - surmortalité inexpliquée chez les jeunes vaccinés -, mais les JT préfèrent les pubs pour boosters aux autopsies oubliées.

Et pour couronner cette farce, regardez la «  mission sur la désinformation en santé » pilotée par Yannick Neuder ministre démissionnaire : un pari risqué pour la vérité, confié à des experts comme Mathieu Molimard, Hervé Maisonneuve et Dominique Costagliola,  accusés de biais flagrants - soutien à des études rétractées, erreurs sur l'hydroxychloroquine et dogme vaccinal qui ignorait la transmission. Cette enquête, censée restaurer la confiance, risque au contraire d'aggraver la fracture : conflits d'intérêts non déclarés, violation du consentement informé (Helsinki, Oviedo), et un scientisme qui disqualifie les débats émergents.  Catherine Vautrin est appelée à virer ces trois-là pour un panel pluraliste, transparent sur les données vaccinales et contrats occultes - sinon, c'est la République qui trinque, otage d'un État qui censure plus qu'il n'éclaire.  Bonsens.org, de son côté, lance un combat décisif contre ces conflits au ministère  : pétition pour révoquer des experts comme ceux de la HAS ou de l'ANSM, englués dans des liens avec Big Pharma - indemnités, consultings, tout y passe -, réclamant une purge pour restaurer une santé au service des citoyens, pas des labos.

Sans cela, la désinfo d'État perdure, effaçant les morts évitables sous un tapis de « consensus scientifique » bidon. Rappelons le « LancetGate » ou l'étude RECOVERY à doses toxiques d'hydroxychloroquine : amplifiées par les médias sans vérif, rétractées plus tard, mais le mal était fait - des vies perdues, une confiance pulvérisée.

Ce 22 septembre 2025, la cerise sur ce gâteau empoisonné : la conférence de presse à la Maison-Blanche où Donald Trump et Robert F. Kennedy Jr. ont lâché une bombe sur l'autisme, liant l'explosion des cas - de 1 sur 10 000 en 1980 à 1 sur 36 aujourd'hui - au paracétamol pendant la grossesse, ce « coupable caché » qu'ils baptisent Tylenol en mode alerte. Trump, tout sourire, annonce des étiquettes d'avertissement sur les boîtes pour les femmes enceintes (« sauf fièvre élevée »), et Kennedy, fidèle à son agenda « Make America Healthy Again », promet une recherche sur la leucovorine comme traitement miracle pour les enfants autistes. Ils évoquent même la communauté amish, quasi zéro autisme, et Kennedy lâche : « Entre 40 et 70 % des mères d'enfants autistes croient que c'est un vaccin ; Trump veut écouter ces mères, pas les marginaliser comme avant. » Une initiative NIH pour traquer les causes racines, avec un focus sur les interactions paracétamol-folates défaillants. Révélation choc ? Une étude de juin 2025 pointe un risque multiplié par 1,6 à 4,1 pour autisme et TDAH chez les exposés prénataux, corrélé à la hausse du paracétamol depuis les années 80.

Mais le traitement médiatique ? Un lynchage en règle : The New York Times hurle « lien non prouvé », BBC et USA Today agitent le spectre de la « désinfo » et de la stigmatisation des autistes, experts pharma en cravate (tiens, des liens avec l'industrie ?) balayant la causalité d'un revers de main. Sur X, ça fuse : « Trump attaque les neurodivergents » pour les uns, « folie de restreindre les femmes » pour d'autres, tandis que des voix comme @EthicalSkeptic cumulent 450 000 vues pour dénoncer l'absence d'études rétrospectives et la diabolisation des parents. Le Washington Post glisse que le focus folates ignore les risques du folate synthétique fortifié, toxique pour les futures mamans.

Résultat ? Une pollution info qui enterre le débat  : au lieu d'enquêter, on caricature en « anti-vax » - Kennedy encore -, effaçant un scandale potentiel qui touche des millions de familles.

Quand l'info est polluée, ce sont des générations d'enfants qui paient, avec une défiance vaccinale qui grimpe et une santé publique en lambeaux.

Cette pollution n'est pas gratuite

C'est un hold-up sur nos esprits, orchestré par des médias subventionnés à coups de centaines de millions - Arnauld, Bolloré, Niel, Bouygues en tête -, qui renvoient l'ascenseur au pouvoir via des narratifs biaisés. Les fact-checkers comme Conspiracy Watch ? Des lobbies pro-État, financés par le Fonds Marianne (50 % de leur budget en 2023), qui pathologisent les sceptiques (Gilets jaunes en « negationnistes ») tout en ignorant les mensonges officiels - Russiagate démonté depuis comme une infox, ministres « confinautiers » en goguette révélés par Mediapart.

Et, Wikipedia ou le Parisien de Nicolas Berrod, pour ne citer qu'eux, qui blanchissent les biais, minimisant les myocardites vaccinales sur la foi de communiqués des sociétés pharmaceutiques.

Conséquences pour le peuple ? Une défiance à 84 % qui sent la peur amplifiée, 87 % d'anxiété, 79 % perdus dans le vrai-faux - science manipulée à 61 % dans divers sondages. Des vies : des confinements qui boostent la dépression de 27 %, vaccins imposés sur données partielles (96 % des morts Covid « non vax » en 2021 ? Faux, corrigé partiellement par BFMTV qui ne veut pas trop s'éloigner du narratif officiel pour ne pas déranger l'équilibre). Et le Pradelle-Lega ? Une étude qui prétend faussement que l'hydroxychloroquine aurait « tué 17 000 personnes », amplifiée par des médias comme Le Monde et L'Express avec l'assistance sans limite ni retenue de Mathieu Molimard qui a son rond de serviette dans les médias mainstreams. Rétractée en août 2024 après debunk par BonSens.org - mais trop tard, la confiance en vrac.

Appliquons la loi « pollueur-payeur »  : taxons ces pollueurs au prorata de la portée de leurs paroles fallacieuses et des dommages, avec des amendes pour les algos viraux sur X ou YouTube qui ne font que scorer par rapport à une norme qui n'a aucune réalité si ce n'est celle de correspondre à une vérité de groupe, d'un petit groupe. Nous avons besoin d'une véritable Agence de Dépollution Info Citoyenne (ADIC) financée par ces « taxes » ou « amendes » pour corriger et éduquer. Avec des sanctions : campagnes obligatoires, interdictions professionnelles pour les récidivistes - comme pour le dopage ou l'ivresse au volant.

Il est venu le temps de cette révolution informationnelle : boycottez les JT, soutenez les indépendants comme France-Soir qui osent les faits crus et les analyses sans concession. Les médias mainstream ? Des complices zélés d'un système qui efface les problèmes pour survivre.

Brisons les chaînes : la vérité n'est pas un privilège des élites, c'est un droit du peuple.

 L'information, c'est un devoir au peuple des médias - ce carburant de la curiosité qui nous rend autonomes, nous permet de débusquer les mensonges, de réclamer des preuves aux gouvernants. Sans elle, pas de démocratie : juste des tautologies enfantines (« tous vax, tous protégés ») et des « infofictions » qui nous volent notre santé, notre avenir.

Soutenez l'info libre,  donnez 1 € par mois ou ce que vous pouvez - car une population informée est une population invincible, curieuse, exigeante.

 L'information, c'est le pouvoir au peuple : reprenons-le, avant que les spoliateurs et les pollueurs ne nous noient pour de bon.

Les 22 et 23 septembre 2025 : des dates historiques pour la liberté d'expression, la transparence, la santé et le débat public

Dans un discours à l'ONU ce 23 septembre, Donald Trump a déclaré que « L'empreinte carbone est un canular inventé par des gens mal intentionnés, et ils se dirigent vers une voie de destruction totale. »

Les réactions des médias mainstream et des lobbys de tous bords ne sont pas encore connues. Cependant, on peut anticiper un contre-narratif virulent, similaire à celui déclenché la veille  suite à des déclarations sur l'autisme de ses liens présumés avec le paracétamol.

Ces deux jours - marqués par  les annonces de Trump et Kennedy sur l'autisme,  les aveux de Google sur la censure et le discours de Trump à l'ONU - s'annoncent comme des moments pivots pour la science, la transparence et l'information libre.

Le débat est relancé sur des sujets tabous, forçant une réévaluation des positions dogmatiques amplifiée par les médias mainstream sans débat. Par exemple,  Adèle van Reeth, de France Inter, devrait s'excuser pour ses prises de position fermées sur le dérèglement climatique, impliquant une censure éditoriale financée par l'argent public et l'exclusion de scientifiques dissidents - une pratique contraire à la Charte de Munich, qui impose le pluralisme et l'honnêteté dans l'information.

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