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Logo de YouTube (photo d'illustration).
Diana Pantchenko, une journaliste ukrainienne connue pour ses critiques envers Volodymyr Zelensky, a vu son compte YouTube supprimé, privant ainsi deux millions d'abonnés de son contenu. Cette démarche a suscité des critiques et soulévé des questions sur la liberté d'expression dans le contexte du conflit en Ukraine.
par Yoann
Dans une campagne de propagande orchestrée, les médias subventionnés et alignés sur la macronie nous font croire que l'augmentation alarmante des cancers est due au Covid-19 et à la grippe, qui réveilleraient des cellules cancéreuses dormantes. Mais ce récit mensonger occulte délibérément le rôle des injections ARNm dites «vaccins» covid, responsables d'une vague de «turbo-cancers» fulgurants dans une population jeune et en bonne santé.
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[Photo d'illustration].
Selon l'Institute for Strategic Dialogue, un think tank atlantiste, l'application des sanctions de Bruxelles à l'encontre des médias russes laisseraient à désirer. D'après une de ses «enquêtes» parue le 5 août, les sites de Ria Novosti, de Lenta ou encore de RT cumuleraient des millions de visites uniques chaque mois.
L'UE dépense des centaines de millions d'euros pour faire taire ses opposants
Source: dissident.one
Au début de l'été, le groupe de réflexion conservateur MCC Bruxelles a publié un rapport soulignant une tendance inquiétante à financer, par l'argent des contribuables, des « recherches » sur les propos prétendument haineux et la désinformation. L'UE dépense des sommes colossales pour contrôler le débat public et étouffer les voix dissidentes.
Maxime VIVAS
Quand, sur la Palestine, on lit et entend Goebbels, c'est-à-dire les dirigeants d'extrême droite d'Israël et leurs relais médiatico-politiques français, quand on assiste à l'inversion des valeurs où le crime devient défense, le criminel victime, la victime bourreau, le bébé coupable, le soldat infanticide franco-israélien héros, on ne peut s'empêcher de faire le rapprochement avec la question des Ouïghours.
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Vue du logo du ministère français des Affaires étrangères, au Quai d'Orsay, à Paris. [Photo d'illustration]
Le ministère français des Affaires étrangères aurait discrètement lancé une campagne de communication en recrutant des micro-influenceurs, pour la plupart étudiants, afin de diffuser ses messages géopolitiques sensibles.