Un rapport israélien publié par The Marker fait état d'une forte augmentation des boycotts universitaires visant les chercheurs et les institutions israéliennes, même après la déclaration d'un cessez-le-feu à Gaza.
En novembre, 1 000 universités européennes avaient instauré un boycott total, et de plus en plus d'universitaires refusaient toute collaboration.
Le rapport souligne que cette situation pourrait isoler l'enseignement supérieur israélien et nuire à son rayonnement international.
Cette tendance a également entraîné une réduction des subventions de recherche de l'UE pour les chercheurs israéliens : 57 % des cas concernent des individus, 22 % des universités et 14 % des programmes internationaux.
Le boycott implique notamment l'annulation d'invitations à des conférences, la non publication d'études israéliennes, l'annulation de partenariats de recherche, le gel des échanges d'étudiants, le refus de participer à des comités de relecture des travaux israéliens.
Même l'Union Européenne dont les dirigeants sont connus pour leur sympathies israélienne a été amenée à fortement diminuer en 2025 le nombre de bourses accordées à des universitaires israéliens dans le cadre de son programme Horizon Europe.
Quand on sait le nombre de millions qu'Israël investit dans la lutte contre le boycott, au travers du financement de journalistes, d'influenceurs, de plateformes internet, on voit qu'ils ne peuvent plus se racheter une virginité.
LES GÉNOCIDAIRES NE TROMPENT PAS LES UNIVERSITAIRES !
