Mise à jour automatique
- jeudi 26 août
- 22h09 CET
- Emmanuel Macron a également tweeté sur la situation : «La France s'associe à la peine des familles des victimes des attaques terroristes à Kaboul. Ceux qui conduisent les opérations d'évacuation sont des héros. Nous mènerons à leur terme ces opérations et maintiendrons dans la durée notre action pour protéger les Afghans menacés.»
- |La France s'associe à la peine des familles des victimes des attaques terroristes à Kaboul. Ceux qui conduisent les opérations d'évacuation sont des héros. Nous mènerons à leur terme ces opérations et maintiendrons dans la durée notre action pour protéger les Afghans menacés.
- 22h06 CET
- L'ancien président américain, Donald Trump, a déploré une tragédie qui «n'aurait jamais dû avoir lieu».
- Son épouse Melania Trump et lui envoient aussi leurs condoléances «aux familles des civils innocents qui sont morts aujourd'hui dans l'attaque sauvage à Kaboul», qui a aussi blessé 15 militaires américains.|
- 22h03 CET
- Dans un communiqué, Emmanuel Macron a «condamné avec la plus grande fermeté les attaques terroristes» à Kaboul.
- Il a exprimé «ses condoléances aux familles des victimes américaines et afghanes, adresse son soutien aux blessés, et salue l'héroïsme de celles et ceux qui sont sur le terrain pour mener à bien les opérations d'évacuation», avant de promettre que «la France les mènera à leur terme et maintiendra dans la durée l'action humanitaire et de protection des Afghans menacés».|
- 21h49 CET
- Selon le directeur de Wincorp-Security-Defense et ancien agent du service action de la DGSE, Pierre Martinet, ceux qui ont commis ces attentats «profitent de la pagaille», désorganisant les secours et faisant «paniquer» les forces occidentales et la population sur le terrain.
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- 21h40 CET
- Joe Biden s'exprimera sur l'Afghanistan à 17 h (21h GMT) annonce la Maison Blanche. Le président démocrate parlera «des victimes parmi les militaires américains et les Afghans, tués et blessés», a ajouté la Maison Blanche.|
- 21h35 CET
- Selon l'AFP, dans un communiqué diffusé par son agence de propagande Amaq, Daesh se targue qu'un de ses combattants se soit approché à moins de «cinq mètres de militaires américains» et qu'il ait déclenché sa ceinture explosive.|
- 21h33 CET
- Daesh a revendiqué l'attaque près de l'aéroport de Kaboul, selon Reuters.|
- 21h28 CET
- Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a convoqué les membres permanents du Conseil de Sécurité à se réunir pour évoquer la situation chaotique en Afghanistan après l'attentat à Kaboul, ont affirmé des diplomates.
- Antonio Guterres a invité dans une lettre les Etats-Unis, le Royaume-Uni, la France, la Russie, et la Chine à une réunion le 30 août, ont précisé ces diplomates à l'AFP, tandis qu'un porte-parole du secrétaire général a confirmé la tenue de la réunion.|
- 21h21 CET
- 12 militaires américains ont été tués et 15 autres blessés dans les attentats-suicides qui ont frappé les abords de l'aéroport de Kaboul, a indiqué un haut responsable militaire américain.|
- 21h16 CET
- Washington menace Daesh de représailles en Afghanistan.
- «Si nous pouvons trouver qui est lié à cela, nous nous lancerons à leur poursuite», a déclaré le général Kenneth McKenzie lors d'une conférence de presse, indiquant également que d'autres menaces restaient «imminentes».
- «Deux djihadistes considérés comme appartenant à l'EI se sont fait sauter à Abbey Gate, suivis par des djihadistes de l'EI armés qui ont fait feu sur les civils et les militaires», a précisé Kenneth McKenzie, chef du commandement central américain en charge de l'Afghanistan.
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Deux explosions se sont produites le 26 août devant l'aéroport de Kaboul, tuant entre 13 et 20 personnes, et bénissant des dizaines d'autres, notamment parmi les milliers d'Afghans qui s'y massent depuis des jours dans l'espoir d 'être renvoyés d'Afghanistan.
Les dirigeants internationaux, dont les Taliban, ont réagi à cette attaque pour le condamner.
Les Occidentaux mènent à Kaboul leurs dernières opérations d'évacuation des ressortissants afghans jugés en danger après la prise de pouvoir des talibans, avant la date butoir défini par ces derniers du retrait des troupes américaines le 31 août.
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