Laurence Beneux, France-Soir
Le Conseil d'Etat a adopté une décision prudente.
AFP/Archives - BERTRAND GUAY
Lundi 3 avril 2023, se tenait une audience devant le Conseil d’État saisi en référé-liberté par la Ligue des droits de l’homme (LDH), l’Association des chrétiens pour l’abolition de la torture (ACAT), le Syndicat de la magistrature (SM) et le Syndicat des avocats de France (SAF).